Le niveau du diplôme contribue toujours à la qualité d'insertion des débutants. Trois ans après leur sortie du système éducatif, la grande majorité des jeunes diplômés du supérieur étaient en emploi (85%, Enquête 2016 Génération 2013). Pour autant l’observation de parcours longs montre que les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, de plus en plus nombreux, voient baisser leurs chances d’accéder au statut de cadre et de bénéficier d’une rémunération que leur niveau d’étude semblait justifier pour les Générations précédentes. Le développement de l’enseignement supérieur pose des questions multiples comme la diversification des parcours d’étude, les stages et la professionnalisation des formations, les problématiques spécifiques de certains diplômes ou encore les processus de sélection.

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Le projet Satelit vise à consolider le positionnement des universités du Maghreb dans leur écosystème économique et territorial. Il est structuré sur l’axe « sud-nord » et il se base sur un partenariat entre six universités de la côte sud de la Méditerranée (d’ouest en est : Rabat, Fès, Béjaia, Constantine, Sousse, Sfax) et six de la côte nord (Cadiz, Murcia, Aix-Marseille,…

Céreq Etudes 52 p

La problématique de l’insertion professionnelle des jeunes (15-24 ans) dans les pays sud méditerranéens (PM) a pris de l’ampleur depuis une dizaine d’années. Si des progrès importants et rapides ont été accomplis en termes d’accès à l’éducation de base d’abord, puis à l’enseignement supérieur, le modèle de croissance économique de ces pays n’a pas été en mesure de générer des emplois en…

Net.Doc 106 p

En Tunisie, le taux de chômage des diplômés de l'enseignement supérieur atteint 30 % en 2014. Dans ce contexte, le projet ISLAH vise à soutenir les processus de réformes structurelles en cours, via notamment la création d'un observatoire national pour l'insertion professionnelle et l'employabilité. Dans ce cadre, une enquête expérimentale sur les conditions d'emploi des diplômés a…

Net.Doc 83 p